Questions techniques : Invincible 580
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et bien, j'ai cogité et une phrase m'est revenue en tête pour faire mon 6ème objet.
"Il existait dans la région une troisième puissance, l’esprit de la vie et des animaux, un cerf aux bois immenses qui fut piégé par les habitants de Lyca et offert en offrande à Swarathnak."
Et là, j'ai pensé direct au Heaume du Cerf dans la campagne PF Kingmaker.
Pour le Heaume du Cerf, j'ai pensé le construire de cette manière :
Heaume du cerf (ou Couronne du cerf)
Sens affutés : gagne un bonus de +2 à tous ses tests de SAG destinés à simuler la perception (vue, ouïe, vigilance, etc.).
Tir perspicace. Le casque s’active par une action libre, une fois par combat. La prochaine attaque contre une cible distante de moins de 10 mètres se déroule comme si cette dernière était surprise (-5 DEF), ce qui permet d’utiliser une attaque sournoise (+2d6 DM).
Possible que le passe à 3x/jour
Maintenant la portion de prophétie, c'est plus compliqué vue la tournure de phrase.
La sixième, sacrifiée sur l'autel putride, car ...
... l'esprit du roi de la forêt piègera son assassin.
Si vous avez une autre idée à me soumettre ...
- Pendragon
La sixième, sacrifiée à la gloire du ver noir, attend patiemment le revers qui piègera son cauchemar.
-> on pourrait imaginer un délire sur l'esprit de la forêt perdu dans un cauchemar qui doit être résolut par celui qui coiffe la couronne...
Après c'est pas très convaincant il faudrait savoir où se trouverait cette coiffe
- JeffL
La sixième, là où l'azur et le sable s'unissent pour le sinople (couleurs héraldiques : azur = bleu du lac, sable = noir de la terre, sinople = vert des marais) , sacrifiée sur l'autel putride de la déférence/servitude (les villageois ont sacrifiés le cerf), trouvera la paix quand le roi de la sylve piègera son assassin*
*modifier un peu la fin qui est un peu longuette, du style : trouvera la paix quand le cornu (parrallèle Cernunnos) chassera celui qui l'a chassé.
Résultat :
La sixième, là où l'azur et le sable s'unissent pour le sinople, sacrifiée sur l'autel de la servitude, trouvera la paix quand le cornu chassera celui qui l'a chassé.
Ça te va ?
- JeffL
nickel
Bonjour à tous.
Je suis en train de mener cette campagne en table virtuelle (Let's Role) avec les règles de la 2e édition (uniquement le livre de base), à la suite d'une précédente campagne que j'avais fait jouer en 1e édition. Le groupe de PJ comprend un barbare demi-orc, un gnome arquebusier, un prêtre humain, et un barde demi-elfe (autrefois un assimar, converti faute de règles, mais le joueur n'a pas été dérangé outre mesure).
Pour le moment, j'ai essayé de conserver les profils des adversaires quasiment à l'identique, sauf deux ou trois fois où je les ai "boosté" un peu pour coller un peu plus près à la table des profils de combat par NC (page 303), notamment le "boss" du premier scénario, mais ce faisant, les combats ont été sensiblement plus tendus pour les PJs.
Nous venons d'entamer le second scénario. Après avoir évité les ennuis en ville, le groupe vient de se frotter au premier combat d'importance: le grand élémentaire d'eau, et nous avons frôlé le TPK. Voulant commencer "soft", je n'avais pourtant pas essayé d'ajuster ses capacités, surtout que le combat débute après un passage éprouvant (13 rounds sous l'eau à tenter de retenir son souffle ou perdre des PV). Le barbare a un peu joué de malchance avec ses attaques, mais ce sont surtout les autres qui n'ont guère pu lui faire de dégâts, du fait de sa RD très importante (voie des créatures magiques + voie du colosse), les poussant à tenter des attaques brutales / précises. Seul le prêtre, bénéficiant de son arme bénie (dégâts magiques), était en mesure de le blesser de manière significative. L'élémentaire est passé en mode "cyclone" pour une durée de 4 tours, attaquant tous les PJs à chaque tour et devenant quasiment intouchable avec son +5 en DEF. Au 3e tour du cyclone, il ne restait que le prêtre debout. Au 4e tour, le prêtre tombait à son tour, et ce n'est que grace à la capacité "Phénix" du prêtre (hop, tout le monde debout), combiné avec la fin du cyclone de l'élémentaire, que le combat a pu se terminer sur la victoire des PJs. Les joueurs m'ont demandé s'ils venaient d'affronter le boss du scénario un peu en avance...
Le grand élémentaire d'eau est disponible dans le livre de base de la 2e édition, avec des capacités un peu différentes, mais je me suis dit, peut-être à tort, que ça ne devrait pas changer grand chose (en 2e ed, il frappe plus fort, a une meilleure DEF, son cyclone/tourbillon n'augmente plus la DEF et dure 3 tours plutôt qu'1d4+1 tours ; on remplace sa RD 8 par une RD 3 + dégâts non magiques divisés par 2 + regen 5 PV / tour). Mais admettons que oui, admettons que la version de la 2e édition aurait rendu le combat un peu plus "facile" pour les PJs.
Du coup, je m'interroge: y a-t-il d'autres rencontres dans la campagne qui mériteraient des ajustements pour un groupe de PJ de la 2e édition, afin qu'elles respectent le challenge prévu à l'origine ?
Salut,
même en COF1 cette rencontre à toujours été très tendue, du fait du contexte et du milieu aquatique.
C'est clairement le genre de combat où il vaut mieux fuir et revenir en forme...
- Emilio Garra
OK, si c'était prévu dès le début d'être une rencontre difficile, ça a bien été le cas (et en plus je n'ai pas vraiment appliqué le contexte aquatique: les PJs étaient sur un petit bout de terre dans un coin de la salle, collés les uns aux autres). Les PJs étaient en forme avant de plonger dans l'eau, ils ne l'étaient plus en arrivant face à l'élémentaire, donc partir puis revenir n'aurait sans doute pas changé grand chose (surtout si l'élémentaire se régénère de son côté).
Bien le bonjour ! Petite question, j'ai un joueur qui souhaite faire un chevalier avec comme capacité le rang 3 de la voie de la noblesse (le fait d'avoir un écuyer pour être exact).
J'imagine mal le début de scénario avec la teleportation du chevalier ET de l'écuyer. Et je me vois mal également laisser prendre une compétence qui ferait râler le joueur parce qu'il n'était pas au courant de ce qui aller se passer et qu'il aurait pris autre chose en compétence (ce que je peux comprendre)
Est ce que :
- option 1, j'autorise l'écuyer, mais ça veut dire qu'à chaque bon dans le temps, il va falloir que le joueur attende d'en ravoir un pour x/y raison ?
- option 2, j'indique que le scenario va être complexe avec si il y a un écuyer dans le tas et qu'il vaut mieux prendre d'autres compétence pour éviter la frustration ?
Les 2 sont validé pour moi mais autant je trouve la 1 ridicule que le chevalier arrive à avoir un écuyer qu'importe la situation, l'époque et l'endroit et pas les autres pj et la 2, je trouve que ça risque de donner des indications sur le pourquoi du comment on trouve jamais notre bon écuyer alors qu'on ne fait que se teleporter pour les pj...
- Ulti
- et
- Le Maurice Joyeux
Peut-être jouer sur le côté anomalie temporelle ? Faire rencontrer au héros des ancêtres de l'écuyer à travers les âges, qui ont cette espèce d'appel à le servir (à toi de jouer je suppose). Evidemment ça implique aussi des séquences sans écuyer (Acte 1 notamment), mais ça peut devenir une mini quête annexe amusante que de chercher l'écuyer dans le nouveau milieu dans lequel ils arriveront.
Parce que techniquement, ce sont les "héros" qui se font téléporter, ce qui est déjà un exploit en soit et non les héros et leurs moultes compagnons sans distinction
Ça peut effectivement être une idée le coup du "mais où est l'écuyer ?", ou bien de jouer un peu plus sur le ridicule de la situation et de se retrouver rapidement toujours en présence de l'écuyer qui viendrait de la même famille, mais à chaque fois sur des générations différentes (la famille d'écuyer de père en fils en somme )
- Beeloshi
Cela peut même donner une explication hsitorique. Si son écuyer vient d'une vieille famille qui se vante d'avoir été au service du tout premier chevalier de l'île.
Ou alors aucun lien familiaux mais des conséquences à long terme, par exemple un jeune d'un des villages (je n'ai plus le numéro du chapitre en tête, quand ils recherchent les ancres) peut fuir pour rentrer au service de l'étranger (qui a sauvé sa soeur ou sa cousine en modifiant un peu les liens familiaux des PNJ) et dans le futur cela donne une organisation chevaleresque qui sera peut-être capable de fournir un écuyer plus tard.
Parce que techniquement, ce sont les "héros" qui se font téléporter, ce qui est déjà un exploit en soit et non les héros et leurs moultes compagnons sans distinction
Delpher
Pour moi, ce sont les héros, leur équipement, et leurs compagnons. Je ne me suis pas posé de question pour le druide ou le forgesort. Les compagnons partagent le destin héroïque de ceux qu'ils servent.
Cela dit, j'aime bien l'idée de la famille d'écuyers !
Parce que techniquement, ce sont les "héros" qui se font téléporter, ce qui est déjà un exploit en soit et non les héros et leurs moultes compagnons sans distinction
Comme Ulti, il ne faut pas se poser de question. Les compagnons sont liés aux persos donc viennent avec.
J'ai juste fait une petite feinte de mon côté, les compagnons sont arrivés apres la première bataille et après leur discussion avec Clovik. Ils se sont "perdus" dans les méandres du temps. Mon chevalier qui a invoqué sa monture magique, pareil, la première fois ca à mis qq minutes pour qu'elle apparaisse.
Ca ajoute du mystère mais apporte qq indices sur la bizzarerie temporelle.
Bonjour,
Petite question sur la lance de Roril (épieu donnant +2d6 DM contre les créatures ne portant pas d'armure manufacturée).
Du coup, dans le combat final contre Lythochronox qui porte son armure d'adamantite, est-ce qu'on considère cette armure comme étant manufacturée ?
En gros quels bonus accorde-t-on à la lance dans ce combat ?
Merci.
- Pendragon
Alors deux réponse: d'abord l'épieu n'a pas +2d6 contre des créatures sans armure mais ses DM passent à 2d6 (jsp si tu saisis la nuance). Par contre la lance donne un +1d6 contre lytochronox/Swarathnak
Dans une autre situation je dirais qu'il faut partir du principe que c'est une armure, mais là la lance à été forgée dans la haine du dragon, c'est le combat final, etc... 3d6 pour moi donc (2d6 +1d6)
- Sam1
Merci pour ta réponse, effectivement en relisant la règle je vois mon erreur.
Du coup même pour ce combat final, tu considères donc 2d6+1d6 de DM et pas uniquement 1d6+1d6.
Ouai je vais partir sur ça, ça fera plaisir à mon PJ.
Merci.
J'ai une nouvelle petite question.
Dans le scénario 4 avec les différents sauts, est-ce que la capacité du Dragon Effroi (lorsque le dragon attaque pour la première fois) doit être utilisé à chaque acte (où un combat à lieu) ou bien uniquement pour le premier acte dans la salle du portail ?
Merci !
- Pendragon
Je pense que la première fois peut suffire, ensuite les Pjs sont "habitués" (à la limite lors du 2e acte quand les musiciens halfelins sont liquéfiés). Après à toi de gérer, si tes joueurs s'en sorte "trop bien" on peut trouver une combine (en enfer c'est le lieu qui est effrayant, chez l'ange je pense pas que c'est pertinent, le loup puisque les héros ne sont que de petits cochons ce serait compréhensible mais il n'a pas ce pouvoir dans ses stat et le dernier combat je ne pense pas non plus...)